Au moins 130 arrestations en France dans les épisodes mis à l'écart des manifestations
Les émeutes, les arrestations, les blocus: la violence gâchées en France aujourd'hui de nouvelles manifestations organisées élèves du secondaire et les étudiants qui sont descendus dans la rue pour protester contre la réforme des relations de travail.
A Paris, la police se sont affrontés plus tôt aujourd'hui avec environ 50 jeunes cagoulés, armés de matraques, qui a glissé dans la foule des manifestants.
La police a fait un large usage de gaz lacrymogènes pour repousser des groupes de jeunes manifestants qui lançaient des pierres, des bouteilles en verre et des œufs et scandaient le slogan «Police partout, justice nulle part."
Les forces de maintien de l'ordre ont alors procédé à 130 arrestations.
Rennes (ouest), où les autorités ont interdit tout rassemblement et mars au centre historique de la ville, des centaines de manifestants ont occupé les pistes près de la gare ferroviaire de la ville, interrompant ainsi le trafic.
Dans Havre (ouest), où 1.200 personnes ont défilé, les services de traversiers également annulés et les navires à passagers dans de telles conditions.
Alors que le mouvement de protestation est maintenant entré dans la cinquième semaine, des milliers de personnes défilent dans les rues de la capitale française en criant le slogan "des lycéens, étudiants, chômeurs et travailleurs, ainsi unis, nous devons lutter tous ensemble unis ont à la défaite."
Sur le chemin, Joe, 23 ans, a expliqué que les manifestations contre les projets de réforme du code des relations de travail, ainsi que "dans les conditions de vie et le monde inacceptable nous offrent."
En outre, des centaines de personnes ont passé la nuit de la place de la République, au cœur de la capitale pour dénoncer le projet de loi sur les relations du travail, il est considéré que favorise les employeurs, ainsi que les mesures de sécurité prises par le gouvernement socialiste, le logement ou même l'exil fiscal ...
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