Lundi, 14 Décembre, ici à 2015
Turquie: Deux manifestants tués dans des affrontements à Diyarbakir
Deux manifestants ont été tués par balles dans des affrontements violents avec la police à Diyarbakir (sud-est) au cours d'une manifestation contre le couvre-feu qui a été en vigueur pendant plus de deux semaines dans certains des quartiers de cette ville, a rapporté l'AFP citant la source adjacente aux services de sécurité.
Les deux victimes, âgées de 21 et 25 ans, ont été tués par des tirs en clair dans les conditions actuelles, tout en essayant d'entrer dans le quartier de Sur, théâtre depuis le début des affrontements mois entre les forces d'application de la loi de l'ordre et des partisans du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK ), selon la même source.
Au moins deux autres personnes, des civils, ont été blessées au cours des émeutes.
Les épisodes ont commencé le matin quand des centaines de personnes, dont de nombreux membres du Parti de la République populaire (HDP) ont tenté de rejoindre le quartier Sur de dénoncer le couvre-feu.
Les forces de police dès repoussé la foule à l'aide de gaz lacrymogène et des pompes à eau sous pression. Au moins 40 personnes ont été arrêtées, a rapporté un journaliste de l'agence de presse française.
Les autorités turques ont imposé le 2 Décembre couvre-feu dans le quartier de Sur, quelques heures après la mort de balles dans des conditions qui ne sont pas claires, un célèbre avocat kurde, Tahir Elche.
Le gouverneur a levé cette mesure quelques heures vendredi. Lors d'une courte visite à Sur, les journalistes de l'Agence française découvert un paysage de guerre, où, entre autres choses que l'on pouvait voir la construction de murs perforés par les balles et les routes coupées en deux en raison des barrages routiers qui ont été mis en place par les manifestants et les tranchées qui avaient été creusées.
Au nord de Diyarbakir, 5 militants kurdes tués dans le district de la province de Mardin Ntargketzit, un autre domaine où un couvre-feu a été imposé, a informé les agents de sécurité. On ne sait pas quand ils sont tués.
Après plus de deux ans qui a duré le cessez le feu, la tension a éclaté l'été entre la police et des soldats turcs par le PKK et un sur l'autre.
Basé sur un examen des organisations non gouvernementales, plus de 50 décisions de couvre-feu mis en œuvre dans 17 villes de Turquie depuis la mi-Août, affectant ainsi la vie quotidienne de plus de 1,3 millions d'habitants.
Le gouverneur de la province de Sirnak a annoncé la réimposition de couvre-feu, dès ce soir dans les villes Tsizre et Silopi (sud).
"Ils pensent qu'ils peuvent nous intimider en multipliant les barricades, les tranchées. Ils veulent pousser les gens à l'extrême. Ils pensent que les gens vont le blâme sur le gouvernement ", at-il dénoncé aujourd'hui le premier ministre de la Turquie, Ahmet Davutoglu, lors d'une interview accordée à la chaîne de télévision A Haber.
"Ni je suis heureux avec le couvre-feu. Mais la levée du couvre-feu peut ouvrir la voie à être victimes civiles ", a ajouté M. Davutoglu.
"Si nécessaire, ces villes seront effacées par la maison des terroristes à la maison," il a promis.
Turquie: Deux manifestants tués dans des affrontements à Diyarbakir
Deux manifestants ont été tués par balles dans des affrontements violents avec la police à Diyarbakir (sud-est) au cours d'une manifestation contre le couvre-feu qui a été en vigueur pendant plus de deux semaines dans certains des quartiers de cette ville, a rapporté l'AFP citant la source adjacente aux services de sécurité.
Les deux victimes, âgées de 21 et 25 ans, ont été tués par des tirs en clair dans les conditions actuelles, tout en essayant d'entrer dans le quartier de Sur, théâtre depuis le début des affrontements mois entre les forces d'application de la loi de l'ordre et des partisans du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK ), selon la même source.
Au moins deux autres personnes, des civils, ont été blessées au cours des émeutes.
Les épisodes ont commencé le matin quand des centaines de personnes, dont de nombreux membres du Parti de la République populaire (HDP) ont tenté de rejoindre le quartier Sur de dénoncer le couvre-feu.
Les forces de police dès repoussé la foule à l'aide de gaz lacrymogène et des pompes à eau sous pression. Au moins 40 personnes ont été arrêtées, a rapporté un journaliste de l'agence de presse française.
Les autorités turques ont imposé le 2 Décembre couvre-feu dans le quartier de Sur, quelques heures après la mort de balles dans des conditions qui ne sont pas claires, un célèbre avocat kurde, Tahir Elche.
Le gouverneur a levé cette mesure quelques heures vendredi. Lors d'une courte visite à Sur, les journalistes de l'Agence française découvert un paysage de guerre, où, entre autres choses que l'on pouvait voir la construction de murs perforés par les balles et les routes coupées en deux en raison des barrages routiers qui ont été mis en place par les manifestants et les tranchées qui avaient été creusées.
Au nord de Diyarbakir, 5 militants kurdes tués dans le district de la province de Mardin Ntargketzit, un autre domaine où un couvre-feu a été imposé, a informé les agents de sécurité. On ne sait pas quand ils sont tués.
Après plus de deux ans qui a duré le cessez le feu, la tension a éclaté l'été entre la police et des soldats turcs par le PKK et un sur l'autre.
Basé sur un examen des organisations non gouvernementales, plus de 50 décisions de couvre-feu mis en œuvre dans 17 villes de Turquie depuis la mi-Août, affectant ainsi la vie quotidienne de plus de 1,3 millions d'habitants.
Le gouverneur de la province de Sirnak a annoncé la réimposition de couvre-feu, dès ce soir dans les villes Tsizre et Silopi (sud).
"Ils pensent qu'ils peuvent nous intimider en multipliant les barricades, les tranchées. Ils veulent pousser les gens à l'extrême. Ils pensent que les gens vont le blâme sur le gouvernement ", at-il dénoncé aujourd'hui le premier ministre de la Turquie, Ahmet Davutoglu, lors d'une interview accordée à la chaîne de télévision A Haber.
"Ni je suis heureux avec le couvre-feu. Mais la levée du couvre-feu peut ouvrir la voie à être victimes civiles ", a ajouté M. Davutoglu.
"Si nécessaire, ces villes seront effacées par la maison des terroristes à la maison," il a promis.
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