Frontex: des changements sont nécessaires dans la gestion de crise de l'immigration
Des changements drastiques dans la gestion de la crise des réfugiés en Europe appelle à la tête de l'agence Frontex Fabrice Leggeri, indiquant que d'ici la fin de Septembre les occupants clandestins montent à 630.000.
Les États membres de l'UE doivent comprendre qu'au lieu de renforcer la police avec des centaines de frontières nationales, il serait plus utile de renforcer nos frontières extérieures, que le Lampedusa (Sicile) et Mytilène, qui sont au cœur de la crise.
L'Europe de complaisance en Grèce et en Italie, toutefois, l'expulsion de ceux qui ont rejeté la demande d'asile, limité à 39%, car il ya des pays qui refusent le rapatriement a noté la déclaration de l'agence Frontex.
Réaliste nom du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, serait d'accepter la nécessité pour les centres de détention entrés illégalement, en vue de l'expulsion et de rapatriement, a déclaré le chef de l'agence Frontex, commentant que sans coordination, les mouvements inutiles continuera de un pays à l'autre.
Toutefois, la Commission européenne a accepté d'augmenter de 54% des coûts de Frontex, de sorte que le budget de l'Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures de l'UE en 2016 va dépasser 176 millions d'euros.
Des changements drastiques dans la gestion de la crise des réfugiés en Europe appelle à la tête de l'agence Frontex Fabrice Leggeri, indiquant que d'ici la fin de Septembre les occupants clandestins montent à 630.000.
Les États membres de l'UE doivent comprendre qu'au lieu de renforcer la police avec des centaines de frontières nationales, il serait plus utile de renforcer nos frontières extérieures, que le Lampedusa (Sicile) et Mytilène, qui sont au cœur de la crise.
L'Europe de complaisance en Grèce et en Italie, toutefois, l'expulsion de ceux qui ont rejeté la demande d'asile, limité à 39%, car il ya des pays qui refusent le rapatriement a noté la déclaration de l'agence Frontex.
Réaliste nom du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, serait d'accepter la nécessité pour les centres de détention entrés illégalement, en vue de l'expulsion et de rapatriement, a déclaré le chef de l'agence Frontex, commentant que sans coordination, les mouvements inutiles continuera de un pays à l'autre.
Toutefois, la Commission européenne a accepté d'augmenter de 54% des coûts de Frontex, de sorte que le budget de l'Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures de l'UE en 2016 va dépasser 176 millions d'euros.
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