"Il a assumé" la responsabilité de tout, mais refuse de payer pour une escroquerie que personne ne l'avait prédit: le directeur du Fonds monétaire international a défendu sa gestion à la fin du procès en France, car elle a permis "témérairement" l'utilisation abusive des fonds publics quand il était ministre des finances de la France.
«Je décidai que j'entreprends (responsabilité) de mes décisions, mais '' agi (...) dans le seul but de défendre l'intérêt public", a souligné Christine Lagarde, qui a pris la dernière raison lors de la procédure devant la Cour de République Cour de justice de la République (CJR).
Ce tribunal spécial, qui est compétente pour juger les ministres en activité ou non pour des infractions qui auraient été commises lorsqu'il était au pouvoir, devrait rendre son verdict lundi à 16h00 GMT.
Le directeur général du FMI est confronté à un emprisonnement de 1 an et une amende de 15.000 euros. L'accusation a demandé l'exemption.
Christine Lagarde procès lundi à Paris pour montrer la «négligence» dans la façon dont ils ont réussi l'arbitrage dans le différend entre l'homme d'affaires Bernard Tapie et la banque Crédit Lyonnais.
L'ancien côté ministre de 60 ans rejette que tout engagement illégal quand il a approuvé la rémunération 2008 l'homme d'affaires Bernard Tapie, d'un montant de 403 mil. Euro dans le cadre de l'arbitrage pour le règlement de son différend avec l'époque banque publique Krenti Lyon, qui a maintenant fermé sur la vente de ses parts dans Adidas entreprise de vêtements de sport.
"Le risque de fraude m'a échappé complètement,» dit-elle.
Sa voix se brisa pendant quelques minutes quand il a dit, tenant un sanglot:
«Ces cinq jours du procès ont mis fin à une épreuve de cinq ans qui connaissent mon partenaire, mes fils, mes frères qui sont dans la salle."
Christine Lagarde a réitéré aujourd'hui que «a agi en toute confiance et en toute conscience, dans le seul but de défendre l'intérêt général."
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