Le Akmparzon Tzalilof, le suspect dans l'attaque de métro Saint-Pétersbourg, représente une « nouvelle génération » des extrémistes islamiques intégrés dans la communauté locale, loin des mouvements djihadistes existants, ce qui rend plus difficile pour les forces de sécurité pour prévenir leurs attaques.
Le profil de la version russe de Facebook semble son intérêt pur et dur rejeton de islam-- de wahhabisme sans aucune indication qu'ils peuvent recourir à la violence, affichant ainsi une image d'un jeune homme commun qui mène une grande partie laïque la vie.
Quatorze personnes ont été tuées et 50 blessées lundi lors d'un attentat suicide sur un wagon du métro de Saint-Pétersbourg. Les autorités russes ont annoncé que le suspect de l'attaque est Tzalilof, un jeune homme de 23 ans né dans l'ancienne république soviétique à majorité musulmane du Kirghizistan.
Si l'extrême l'islamisme était en effet sa motivation, alors Tzalilof diffère des deux catégories précédentes armés --ekeinous la région turbulente du Caucase du Nord en Russie qui a donné des batailles successives de Moscou et l'organisation ultérieure voyagé en Syrie et en Irak pour combattre aux côtés Etat islamique.
La nouvelle génération d'extrémistes islamiques peut être inspiré ou recevoir des instructions des générations précédentes, mais pas en relation directe avec eux, et ses membres proviennent des mêmes communautés musulmanes.
«C'est un genre complètement différent, un autre niveau de menace terroriste que les services de sécurité russes sont habitués à vivre », dit Andrei Solntatof, une intelligence d'experts russes.
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