L'homme est tombé à son véhicule qu'il conduisait sur une camionnette de la police des Champs-Elysées à Paris « est mort », est devenu connu sous le ministre de l'Intérieur français Zerar Kolomp, qui a parlé d'une « tentative d'agression ».
« Encore une fois les forces de sécurité en France a été la cible », a déclaré le ministre français.
Gerard Colombe a expliqué que l'intérieur du véhicule étaient « un certain nombre d'armes, d'explosifs qui se proposeraient de faire exploser la voiture. »
En outre, des bonbonnes de gaz, un fusil d'assaut de type Kalachnikov et des pistolets ont été trouvés dans le véhicule du contrevenant, a rapporté l'AFP citant des sources policières.
Cette attaque « montre une nouvelle fois que le niveau de la menace en France est extrêmement augmenté », a ajouté Colombe et alors que la France reste dans un état d'urgence après les attentats de Novembre à 2015.
« Pour ceux et ceux qui se demandent sur la nécessité d'appliquer de telles lois, aujourd'hui, nous voyons que la situation en France exige que si nous voulons garantir efficacement la sécurité de nos citoyens, nous devons prendre certain nombre de mesures » ministre confirmé qui devrait présenter mercredi un nouveau projet de loi antiterroriste.
L'auteur de l'attentat qui a empêché les Champs-Elysées était connu aux autorités pour participer au « mouvement islamiste radical »
L'auteur de l'attaque a pu être évitée aujourd'hui sur l'avenue des Champs Elysées à Paris a été ciblé par les autorités depuis 2015 et a la documentation pour la participation au « mouvement islamiste radical », a rapporté l'AFP citant des sources concordantes.
La famille de 31chronou homme, qui est tombé plus tôt dans l'après-midi avec le véhicule qu'il conduisait, et transportant des bonbonnes de gaz et des armes sur un fourgon de police, il était aussi connu pour participer au mouvement « salafistes », a déclaré une source ayant connaissance de l'affaire .