Turquie passe Vladimir Poutine
Le président russe Vladimir Poutine est en visite aujourd'hui en Turquie pour assister à une conférence sur l'énergie et rencontrer son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, confirmant ainsi concilier les deux pays en dépit de leurs désaccords sur la crise en Syrie .
Météo en échange de catégories entre Poutine et Erdogan, après l'attentat contre l'armée de l'air turque d'un chasseur russe en Novembre 2015, semble avoir passé.
Il est temps maintenant de la coopération énergétique et les deux leaders visait à réaffirmer leur engagement à procéder à la construction du gazoduc TurkStream naturel russo-turque, à travers lequel transportera gaz naturel russe vers l'Europe en passant par la mer Noire, mais aussi dans la fabrication Moscou la première centrale nucléaire turque.
La réunion des deux dirigeants, qui va maintenant avoir lieu à Istanbul où Poutine participera à la Conférence mondiale de l'énergie, sera le troisième depuis Moscou et Ankara ont décidé de normaliser leurs relations après la grave crise déclenchée par l'attentat contre chasseur russe sur la Syrie par la force aérienne turque.
En représailles, la Russie avait imposé une série de sanctions économiques contre la Turquie, y compris l'interdiction des vols charters vers le pays, qui se traduit par une diminution de 83% du nombre de touristes russes en Turquie en un an.
Malgré leur récent rapprochement, Moscou et Ankara continuent d'avoir des vues diamétralement opposées en ce qui concerne la crise syrienne. La Russie est le principal allié du président syrien Bachar al-Assad, tandis que la Turquie soutient les rebelles qui cherchent sa retraite.
Cependant, les deux parties semblent avoir mis de côté leurs divergences sur cette question afin de se concentrer sur les domaines possibles de coopération, en particulier dans l'énergie. En effet, la Russie et la Turquie ont l'intention de renforcer leurs transactions financières, pour atteindre 100 milliards $. Année.
Selon les experts, grâce à cette approche avec la Russie, la Turquie veut envoyer un message à l'Occident qu'il est encore capable de «suivre son propre chemin."
Le gazoduc permettra le transfert de TurkStream 31,5 milliards. Mètres cubes de gaz russe vers l'Europe, ce qui réduira la dépendance de Moscou sur l'Ukraine.
Le plan stratégique a été dévoilé à la fin de 2014 au milieu de la crise ukrainienne, au cours de laquelle il a été abandonné dans le projet South Stream à travers la mer Noire, qui prend l'Union européenne.
Malgré les ambitions des deux pays, les analystes restent sceptiques quant à l'efficacité du projet et sa réalisation, que la construction n'a pas encore commencé.
Seuls des progrès semble vraiment possible entre les deux pays est la construction continue par le Russe première centrale nucléaire turque à Akkuyu, dans le sud de la Turquie. La construction de la centrale nucléaire, dont le coût est estimé à. 18 milliards d'euros, est important pour Erdogan qui souhaite ainsi renforcer l'indépendance énergétique du pays.
Le président russe Vladimir Poutine est en visite aujourd'hui en Turquie pour assister à une conférence sur l'énergie et rencontrer son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, confirmant ainsi concilier les deux pays en dépit de leurs désaccords sur la crise en Syrie .
Météo en échange de catégories entre Poutine et Erdogan, après l'attentat contre l'armée de l'air turque d'un chasseur russe en Novembre 2015, semble avoir passé.
Il est temps maintenant de la coopération énergétique et les deux leaders visait à réaffirmer leur engagement à procéder à la construction du gazoduc TurkStream naturel russo-turque, à travers lequel transportera gaz naturel russe vers l'Europe en passant par la mer Noire, mais aussi dans la fabrication Moscou la première centrale nucléaire turque.
La réunion des deux dirigeants, qui va maintenant avoir lieu à Istanbul où Poutine participera à la Conférence mondiale de l'énergie, sera le troisième depuis Moscou et Ankara ont décidé de normaliser leurs relations après la grave crise déclenchée par l'attentat contre chasseur russe sur la Syrie par la force aérienne turque.
En représailles, la Russie avait imposé une série de sanctions économiques contre la Turquie, y compris l'interdiction des vols charters vers le pays, qui se traduit par une diminution de 83% du nombre de touristes russes en Turquie en un an.
Malgré leur récent rapprochement, Moscou et Ankara continuent d'avoir des vues diamétralement opposées en ce qui concerne la crise syrienne. La Russie est le principal allié du président syrien Bachar al-Assad, tandis que la Turquie soutient les rebelles qui cherchent sa retraite.
Cependant, les deux parties semblent avoir mis de côté leurs divergences sur cette question afin de se concentrer sur les domaines possibles de coopération, en particulier dans l'énergie. En effet, la Russie et la Turquie ont l'intention de renforcer leurs transactions financières, pour atteindre 100 milliards $. Année.
Selon les experts, grâce à cette approche avec la Russie, la Turquie veut envoyer un message à l'Occident qu'il est encore capable de «suivre son propre chemin."
Le gazoduc permettra le transfert de TurkStream 31,5 milliards. Mètres cubes de gaz russe vers l'Europe, ce qui réduira la dépendance de Moscou sur l'Ukraine.
Le plan stratégique a été dévoilé à la fin de 2014 au milieu de la crise ukrainienne, au cours de laquelle il a été abandonné dans le projet South Stream à travers la mer Noire, qui prend l'Union européenne.
Malgré les ambitions des deux pays, les analystes restent sceptiques quant à l'efficacité du projet et sa réalisation, que la construction n'a pas encore commencé.
Seuls des progrès semble vraiment possible entre les deux pays est la construction continue par le Russe première centrale nucléaire turque à Akkuyu, dans le sud de la Turquie. La construction de la centrale nucléaire, dont le coût est estimé à. 18 milliards d'euros, est important pour Erdogan qui souhaite ainsi renforcer l'indépendance énergétique du pays.