Les employés et les étudiants protestent en France contre la réforme des relations de travail
Déterminé à assurer le retrait des «inacceptable» le projet de réforme des relations de travail, des dizaines de milliers de travailleurs et d'étudiants sont allés encore aujourd'hui dans les rues de Paris et dans des dizaines d'autres villes en France après avoir appelé sept syndicats, pour la quatrième fois en deux mois et quelques jours avant la discussion du projet de loi à l'Assemblée nationale.
Cette journée est un test pour la détermination de s'opposer à cette dernière réforme majeure du mandat de cinq ans du président socialiste François Hollande, un an avant les élections présidentielles qui augurent particulièrement difficile pour la décision à gauche. Et certains attendent une convergence avec le mouvement des citoyens non officiels "Nuit Debout" (nuit) occupé le 31 Mars chaque soir la place de la République à Paris.
La mobilisation actuelle se déroule dans le climat tendu, comme les jours précédents avaient été des attaques en marge des manifestations, en dépit d'un déploiement important de l'ordre sous l'état d'urgence imposé en France après les attentats de Novembre.
Les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont eu lieu en fin de matinée à Nantes (ouest de la France), peu de temps après le début d'un processus auquel ont participé 8-9000 personnes, selon la police, plus de 20.000, selon les organisateurs. La police a utilisé des gaz lacrymogènes.
La manifestation à Paris a commencé à 15h00 GMT. Attendus pour traverser la partie sud-est de la ville, mais les autorités prévoient que certains manifestants se sont rassemblés puis dans la place de la République.
A l'aéroport d'Orly de la capitale, la deuxième plus grande en France, les compagnies aériennes avaient été avertis de réduire de 20% des vols, bien que le mouvement est effectué essentiellement normale dans la plupart aéroport Charles de Gaulle, au nord de Paris.
Déterminé à assurer le retrait des «inacceptable» le projet de réforme des relations de travail, des dizaines de milliers de travailleurs et d'étudiants sont allés encore aujourd'hui dans les rues de Paris et dans des dizaines d'autres villes en France après avoir appelé sept syndicats, pour la quatrième fois en deux mois et quelques jours avant la discussion du projet de loi à l'Assemblée nationale.
Cette journée est un test pour la détermination de s'opposer à cette dernière réforme majeure du mandat de cinq ans du président socialiste François Hollande, un an avant les élections présidentielles qui augurent particulièrement difficile pour la décision à gauche. Et certains attendent une convergence avec le mouvement des citoyens non officiels "Nuit Debout" (nuit) occupé le 31 Mars chaque soir la place de la République à Paris.
La mobilisation actuelle se déroule dans le climat tendu, comme les jours précédents avaient été des attaques en marge des manifestations, en dépit d'un déploiement important de l'ordre sous l'état d'urgence imposé en France après les attentats de Novembre.
Les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont eu lieu en fin de matinée à Nantes (ouest de la France), peu de temps après le début d'un processus auquel ont participé 8-9000 personnes, selon la police, plus de 20.000, selon les organisateurs. La police a utilisé des gaz lacrymogènes.
La manifestation à Paris a commencé à 15h00 GMT. Attendus pour traverser la partie sud-est de la ville, mais les autorités prévoient que certains manifestants se sont rassemblés puis dans la place de la République.
A l'aéroport d'Orly de la capitale, la deuxième plus grande en France, les compagnies aériennes avaient été avertis de réduire de 20% des vols, bien que le mouvement est effectué essentiellement normale dans la plupart aéroport Charles de Gaulle, au nord de Paris.