Assad: Je vais reprendre le contrôle de la Syrie
Le président syrien Bachar al-Assad a dit qu'il veut des négociations qui auront lieu avec l'opposition, mais aussi la poursuite de la guerre contre les rebelles armés.
«Dès le début de la crise, nous croyons fermement dans les négociations et l'action politique. Cependant, à négocier ne signifie pas que la lutte contre le terrorisme cesse. Ces deux aspects sont la condition sine qua non en Syrie. La première est indépendante de la seconde ", a dit Assad dans un entretien exclusif avec l'AFP.
Assad dit déterminé à reprendre le contrôle de l'ensemble de la Syrie, mais a reconnu que les combats contre les rebelles cherchant à renverser les cinq dernières années seront durée 'long'.
"Il est raisonnable de dire qu'il ya une partie de notre territoire à partir de laquelle ils abandonnent", a expliqué le président syrien dans l'interview qu'il a donné à l'AFP à Damas.
Ce fut la première entrevue aux médias après le fiasco du mois dernier, les pourparlers de proximité à Genève à partir du début du mois, une vaste opération militaire dans la province d'Alep par ses forces, appuyées Armée de l'Air russe.
"Soit nous le faisons ou pas, ceci est un objectif que nous cherchons à atteindre sans hésitation," at-il répondu lorsqu'on lui a demandé s'il considère que ses forces sont en mesure de reprendre le contrôle du territoire du pays.
Se référant à la "grande bataille" pour Alep, Assad a déclaré que l'objectif est de "couper la connexion" de cette province avec la Turquie, non seulement la reprise de la deuxième plus grande ville de la Syrie et de la province du même nom.
Le taux de cette connexion est importante car elle est la "principale voie d'approvisionnement pour les terroristes», a déclaré le président syrien.
Même l'Bachar al-Assad a appelé l'Europe à créer des conditions pour aider le retour des réfugiés syriens dans le pays.
«Je veux faire appel aux gouvernements européens, qui ont directement contribué à l'exode des réfugiés syriens offrant une couverture pour les terroristes et imposant l'embargo sur la Syrie à contribuer au retour des Syriens dans leurs maisons."
Le président syrien spécialement invité la France à "changer la politique" en Syrie à "combattre le terrorisme", alors qu'il ne reste dans son pays à "faire un geste" à Paris pour améliorer les relations bilatérales.
Interrogé sur le départ de Laurent Fabius de son poste de ministre français des Affaires étrangères, en outre, Assad a déclaré que "le changement de personnes ne sont pas vraiment important" et qui est "plus le changement de politique" qui compte.
Pourtant, l'entrevue Assad évoqué le risque d'avoir des terres intervention militaire de la Turquie et de l'Arabie Saoudite au territoire syrien, en répétant le Damas avertissant que les forces syriennes résistent dans de telles circonstances.
"Il y a une possibilité que je ne peux pas exclure, pour la simple raison que Erdogan est intransigeante, radicale, en faveur des Frères musulmans, le rêve Ottoman vit. Pas si pour l'Arabie Saoudite. Dans chaque cas, une telle action ne sera pas facile pour eux et certainement va résister ", at-il dit.
En outre, l'Bachar al-Assad a rejeté catégoriquement les accusations de l'ONU que son régime responsable de crimes de guerre, en faisant valoir que la majorité des rapports des agences de l'ONU sur cette question est «politisé» et sans fondement.
enquêteurs de l'ONU ont accusé Damas lundi que "tue" détenus dans les prisons syriennes.
"Dans les institutions de l'ONU forces essentiellement occidentales dominent et la majorité des rapports sont politisés» et non «contenir des preuves" soutenu le président de la Syrie.
"Pour cette raison, je ne crains ni les menaces, ni les accusations," at-il répondu lorsqu'on lui a demandé par l'AFP si peur qu'il puisse être traduit devant un tribunal international pour répondre de la guerre.
Le président syrien Bachar al-Assad a dit qu'il veut des négociations qui auront lieu avec l'opposition, mais aussi la poursuite de la guerre contre les rebelles armés.
«Dès le début de la crise, nous croyons fermement dans les négociations et l'action politique. Cependant, à négocier ne signifie pas que la lutte contre le terrorisme cesse. Ces deux aspects sont la condition sine qua non en Syrie. La première est indépendante de la seconde ", a dit Assad dans un entretien exclusif avec l'AFP.
Assad dit déterminé à reprendre le contrôle de l'ensemble de la Syrie, mais a reconnu que les combats contre les rebelles cherchant à renverser les cinq dernières années seront durée 'long'.
"Il est raisonnable de dire qu'il ya une partie de notre territoire à partir de laquelle ils abandonnent", a expliqué le président syrien dans l'interview qu'il a donné à l'AFP à Damas.
Ce fut la première entrevue aux médias après le fiasco du mois dernier, les pourparlers de proximité à Genève à partir du début du mois, une vaste opération militaire dans la province d'Alep par ses forces, appuyées Armée de l'Air russe.
"Soit nous le faisons ou pas, ceci est un objectif que nous cherchons à atteindre sans hésitation," at-il répondu lorsqu'on lui a demandé s'il considère que ses forces sont en mesure de reprendre le contrôle du territoire du pays.
Se référant à la "grande bataille" pour Alep, Assad a déclaré que l'objectif est de "couper la connexion" de cette province avec la Turquie, non seulement la reprise de la deuxième plus grande ville de la Syrie et de la province du même nom.
Le taux de cette connexion est importante car elle est la "principale voie d'approvisionnement pour les terroristes», a déclaré le président syrien.
Même l'Bachar al-Assad a appelé l'Europe à créer des conditions pour aider le retour des réfugiés syriens dans le pays.
«Je veux faire appel aux gouvernements européens, qui ont directement contribué à l'exode des réfugiés syriens offrant une couverture pour les terroristes et imposant l'embargo sur la Syrie à contribuer au retour des Syriens dans leurs maisons."
Le président syrien spécialement invité la France à "changer la politique" en Syrie à "combattre le terrorisme", alors qu'il ne reste dans son pays à "faire un geste" à Paris pour améliorer les relations bilatérales.
Interrogé sur le départ de Laurent Fabius de son poste de ministre français des Affaires étrangères, en outre, Assad a déclaré que "le changement de personnes ne sont pas vraiment important" et qui est "plus le changement de politique" qui compte.
Pourtant, l'entrevue Assad évoqué le risque d'avoir des terres intervention militaire de la Turquie et de l'Arabie Saoudite au territoire syrien, en répétant le Damas avertissant que les forces syriennes résistent dans de telles circonstances.
"Il y a une possibilité que je ne peux pas exclure, pour la simple raison que Erdogan est intransigeante, radicale, en faveur des Frères musulmans, le rêve Ottoman vit. Pas si pour l'Arabie Saoudite. Dans chaque cas, une telle action ne sera pas facile pour eux et certainement va résister ", at-il dit.
En outre, l'Bachar al-Assad a rejeté catégoriquement les accusations de l'ONU que son régime responsable de crimes de guerre, en faisant valoir que la majorité des rapports des agences de l'ONU sur cette question est «politisé» et sans fondement.
enquêteurs de l'ONU ont accusé Damas lundi que "tue" détenus dans les prisons syriennes.
"Dans les institutions de l'ONU forces essentiellement occidentales dominent et la majorité des rapports sont politisés» et non «contenir des preuves" soutenu le président de la Syrie.
"Pour cette raison, je ne crains ni les menaces, ni les accusations," at-il répondu lorsqu'on lui a demandé par l'AFP si peur qu'il puisse être traduit devant un tribunal international pour répondre de la guerre.